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La maltraitance
Ton cœur a submergé le mien,
Il a brusquement comprimé mes liens.
Tout en parcourant mon corps,
Tu as fini par comprendre tes torts.
Tu me parles d’erreurs, moi de domination.
Les traces indélébiles présentes sur toi,
Je les vois comme preuves de notre passion.
Devant un miroir, tu sais que tu es à moi.
Tu crois m'aimer, mais tu me détruis,
A petit feu, mon cœur se noircit.
Il finira par succomber, cessera de vivre,
Accablé de coups, un soir où tu seras encore ivreTu auras beau dire je ne changerai pas,
C’est ainsi que je t’aime quand tu es soumise.
Tu ne peux pas me plaire sans que j’aie l’emprise,
Par les répétitions je ne sens plus mon bras.
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