• Te rappelles-tu cette fin d’année,

    Où je désirais te parler ?

    Mais tu étais partie sans un au revoir,

    Oubliant l’heure dans mes devoirs.

     

    T’es tu seulement demandée,

    Quelles vérités je voulais t’avouer ?

    Toute l’année je m’étais retenu,

    Et ce jour-là, j’étais enfin résolu.

     

    Par ma faute je t’ai manquée,

    Et depuis je l’ai toujours regretté.

    Dire quelques mots n’a rien d’effrayant,

    Sauf pour un timide de 20 ans.

     

    Je ne vais pas te faire languir davantage,

    Car aujourd’hui j’ai pris de l’âge.

    C’était le cas l’époque et ça l’est toujours,

    Tu me plais, et je le dis au grand jour.

     

    Je n’ai jamais oublié ce qu’on a partagé,

    Les cours de maths, ta formation militaire,

    Le pique-nique où je t’avais invité,

    L’achat du serpent et ton problème bancaire…

     

    J’ai souvent pensé à toi ces années,

    Pendant une sortie géol à Mirabel,

    Quand de miss j’entends parler,

    Je te revois tu étais si belle.

     

    Des années durant tu séjournais à Paris,

    Aux côtés de ton fiancé musicien.

    Pour ne déranger je n’ai rien dit,

    Des sentiments qui étaient mien.

     

    Ces mots j’aimerais te le dire en face,

    Le temps passe, brouillant les chemins.

    Celui qu’on partageait n’est plus que trace,

    Mais aujourd’hui je veux maitriser mon destin.


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  • Un jour peut-être tu liras ces mots,

    Que je pose aujourd’hui sur le papier.

    Tu chercheras la beauté du cadeau,

    Sans la trouver pendant bien des années.

     

    Que penseras-tu d’un papa poète,

    Au lieu d’aventurier sur le retour ?

    Ma passion est loin d’être la plus chouette,

    Pas de celle qu’on vante dans la cour.

     

    Malgré tout tu dois savoir une chose,

    Tu resteras pour toujours mon petit,

    Celui pour qui je donnerai ma vie,

    Si pour toi elle n’est pas toute rose.

     

    Un jour c’est sûr tu me crieras dessus,

    M’accusant d’aimer ta sœur plus que toi.

    Si c’est ton impression excuse-moi,

    Puisque je ne peux pas vous chérir plus.

     

    Et devenu adolescent tu auras honte,

    De moi tu chercheras à t’éloigner,

    Pour conserver ta notoriété,

    De ce père te versant des acomptes.

     

    Lorsqu’enfin sonnera l’heure de ma mort,

    Tu reliras ce petit parchemin,

    Et tu comprendras alors tous tes torts,

    Envers celui qui t’a tenu la main.


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  • Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien.

    Voici comment parlait Socrate,

    Quand on le questionnait sur son intellect,

    Et cela faisait de lui le plus malin.

     

    Avouer son ignorance,

    Est la plus grande des intelligences.

    Le reconnaitre aux yeux de tous,

    C’est faire preuve d’une maturité profonde.

     

    Je ne prétends pas être comme lui,

    Mais si tout le monde respectait ceci,

    La vie n’en serait que meilleure.

     

    Tous ensemble mes frères et sœurs,

    Arrêtez de vous croire supérieurs,

    Et aidez ses personnes au grand cœur.


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  • Il y a un mois j'étais toute ta vie,
    Aujourd'hui je n'en fais plus partie,
    Qu'a-t-il bien pu se passer,
    Pour que tu décides de me quitter ?

    La tentation existe toujours,
    Ce n'est pas pour autant qu'il 'y plus d'amour.
    Si seulement nous nous étions parlés,
    Nous ne serions pas tous deux éloignés.

    Tu as fait un choix pour nous deux,
    Sans que je puisse me défendre,
    Pour ce qui comptait à mes yeux.
    Depuis mon cœur est réduit en cendres.

    J'ai affronté tes anciens démons,
    Sans savoir contre qui je luttais.
    Le combat n'a pas été très long
    Car ton choix était déjà fait.

    La lutte a toujours été déloyale,
    Car je ne connaissais pas mon rival.
    Quand tu m'as parlé il était déjà trop tard,
    Tu me fuyais sans même un regard.

    Notre couple n'a pas surmonté,
    Ce qui aurait pu nous unir à jamais.
    J'ai 'impression que tu n'as pas lutté,
    Pour cette relation qui durait.

    Tu es passée au sommet sans moi,
    Car seule tu vas beaucoup plus vite.
    Dans la descente tu es rattrapée par l'émoi,
    Mais j'ai abandonné la course poursuite.

    À deux nous serions allés plus loin,
    Traversant les monts et les vallées.
    Traçant notre route main dans la main,
    Pour réaliser nos rêves de bébés.


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  •  

     

    Pour traverser ce chemin de ronces,
    Pour que cette page inachevée,
    Puisse enfin être tournée,
    J’ai besoin d’avoir des réponses.

    Le temps seul ne suffit plus,
    A réparer ce cœur perdu,
    Que tu as anéantis,
    En partant dans un autre lit.

    D’un revers de la main,
    Tu as balayé notre relation,
    Comme une histoire sans lendemain,
    Alors que depuis toujours nous nous aimions.

    M’as-tu seulement aimé,
    Pour m’oublier en quelques heures ?
    N’ai-je donc jamais compté,
    Car tu sais que sans toi je meurs ?

    Personne n’est maître de ses sentiments,
    Mais comment peuvent-ils changer si rapidement ?
    Hier tu me disais que tu m’aimais,
    Aujourd’hui, c’est lui qui entend ces mots parfaits.

    Hier tu clamais que tu étais perdue sans moi,
    Aujourd’hui, tu es heureuse sans mes bras.
    J’ai toujours été là dans tes moments difficiles,
    Et je ne pensais pas notre amour si fragile.

    Pendant des années j’ai lutté,
    Pour affirmer notre amour.
    Mais cela ne semblait pas compter,
    Car tu me quittes sans détour.

    J’ai essayé de comprendre,
    Ce choix qui semble fou.
    3 ans et demi réduits en cendres,
    Sans pouvoir se battre pour nous

    Pour que cette romance inachevée,
    Puisse enfin se terminer,
    Pour comprendre que notre histoire n’était rien
    Donne-moi les réponses dont j’ai besoin…


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