• Ces dessins prouvent ô combien je compte pour toi,
    Puisque tu me les offres avec gentillesse,
    Et moi je reçois ces présents avec émoi,
    Car venant d'une amie c'est d'une grande richesse.

    Tes dessins je les trouvent tellement jolis,
    Que je me demande si je peux te les prendre.
    C'est comme si je volais un morceau de ta vie,
    Que je ne pourrais, malgré moi, te rendre.

    Pour moi, cet art a une signification,
    Puisqu'il représente notre amitié sacrée.
    Je n'ai rien pour cette marque d'affection,
    Qui prouve que je suis aimé et apprécié.

    Il t'arrive de me proposer tes oeuvres d'art,
    Sans que j'ai rien dis, tu lis dans mon regard.
    Tu vois mon admiration, l'ébahissement,
    Devant l'étendu de cet immense talent.

    En toi je connaissais beaucoup de qualités,
    Mais tu me jettes dans l'étonnement, encore,
    Tant tu as de cordes à ton arc : tu vaux de l'or.
    Et je pense que tu devrais continuer.

    Tu as décidé de me faire de beaux cadeaux,
    Que je ne peux malheureusement pas t'offrir,
    Car je n'ai ton talent pour donner le sourire.
    Et parfois je me dis que je suis un " salaud ",
    Que je ne mérite point de tout recevoir,
    Car mon comportement fait, des moments, peur à voir.
    Je ne pourrais jamais assez te remercier,
    Pour tout ce que tu as pu m'offrir : le bonheur
    Je me demande encore si je peux accepter,
    Car je t'ai apporté beaucoup trop de malheurs


    1 commentaire
  • Certains mots sont bien plus blessants que la violence,
    Alors arrêtez d'insulter ces pauvres gens,
    De les accabler de tant de maux et de souffrances,
    Juste parce qu'ils ont la "malchance" d'être différents.
    Pourquoi emplir votre cœur d'une telle insolence,
    Et donc de renier les autres, d'être raciste?
    Pourquoi refuser d'accepter la différence
    Et de rendre en même temps le monde pacifiste?

    Vous ne leur laissez pas la chance d'être égaux,
    Car ils ont tout simplement touché votre ego.
    Vous êtes jaloux d'un talent que vous n'avez,
    Mais que vous voudriez, plus que tout, posséder.
    Les hommes de couleurs ont chacun leur propre vie
    Cela n'est par aucune loi interdit.

    Vous ne les aimez pas parce qu'ils sont étrangers,
    Est un si grand mal d'être dans un monde diversifié?
    Quelle honte y a-t-il d'être jaune, blanc-beurre, noir?
    Méritent-ils, de votre part, de tels regards?


    1 commentaire
  • La poésie est un moyen de s'échapper,
    De ne plus du tout penser à la réalité.
    Mais l'écriture a aussi d'autres vertus.
    En effet, elle me permet surtout de m'exprimer
    Car je ne sais vous parler qu'avec des rimes,
    Ou avec quelques phrases dites sublimes.
    Mes mots atteignent directement votre cœur,
    Alors qu'à la vérité, ils créent des malheurs.

    Je ne pourrais vous toucher sans la poésie !
    Avec vous je ne sais comment m'entretenir,
    Sauf quand je retranscris, dans mes quelques récits,
    Tout ce que je ressens, et que je vous fais rire.

    Toutes mes paroles sont autant de venin,
    Que mes rimes sont, de mon cœur, la zone sombre.
    Ils montrent ce que j'ai toujours caché dans l'ombre
    Et ce que je suis sous ces airs de gros gamin.

    Mes poèmes exposent tous mes sentiments,
    Et extériorisent tout ce que je ressens.
    C'est grâce à eux que j'ai eu mon premier rencard,
    Même si c'est vrai que ce n'est pas du grand art.
    Mais faut-il forcément faire quelque chose de beau,
    Pour pouvoir faire plaisir aux êtres qui nous sont chers ?
    Mais n'est-ce pas l'intention qui, au cœur, fait chaud ?
    Peut-être, mais fallait-il encore la faire.

    Et tout cela pour dire que sans l'écriture,
    Je ne pourrais pas vous parler, à vous les femmes.
    Ils ne font que représenter ma petite âme.
    Sans eux je ne serais pas plus qu'une moisissure.


    1 commentaire
  • Mon cœur balaie une épouvantable tempête,
    Et mon esprit est proche de la perdition.
    Le calme plat de la mer s'est sans sommation,
    Envolé laissant place à la grande déroute.

    Mon corps se noie dans les innombrables vagues,
    Et je sombre soudain dans un profond naufrage.
    En sentant la pluie tomber sur mon visage,
    Ma conscience est ailleurs je me couche et divague.

    J'ouvre les yeux et son visage m'éblouit,
    A sa beauté je m'émeus suis-je au paradis ?
    Je sens toujours la bruine s'abattre sur moi,
    Mais un sourire apparaît je suis en émoi.

    Je n'ai jamais vu une si grande merveille,
    Si bien qu’aujourd’hui elle hante mon sommeil.
    Un ange qui ne fait qu'envahir mes pensées,
    Je chante les louanges de cet être aimé.

    J'apprends à la connaitre j'en tombe amoureux,
    Je me prends à nous imaginer tous les deux.
    Malheureusement l'amour nous laisse sur Terre,
    Afin que nous enterrions tous nos espoirs.

    L'ondée est plus forte je me lève en sursaut,
    Son image disparaît petit à petit.
    Je sais que de ma vie elle n'en fait partie,
    Il ne me reste d'elle que quelques photos.

    Donner de l'amour mais ne pas en recevoir,
    Est un ressenti que l'on n'aime pas avoir.


    2 commentaires
  • Le blond de tes cheveux reflète le soleil,
    Te rendant encore plus brillante que lui.
    Tu es semblable à une huitième merveille,
    Et par ta splendeur tu illumines ma vie.

    Quand je plonge au plus profond de tes beaux yeux bleus,
    Je suis inlassablement attiré par eux.
    Tout comme le sable se noie dans la mer,
    Je chavire dans ton regard de feu de fer.

    Tes lèvres sont ma bouée de sauvetage,
    A laquelle je m'agrippe sans lâcher prise.
    Dès que j'ai gouté aux délices de ta bise,
    J'ai toujours voulu demeurer en plein naufrage.

    Une infinie tendresse de tes baisers,
    Calme immédiatement mes plus graves blessures.
    Grâce à tes bisous la fleur de l'amour est née,
    Pour protéger ainsi mon cœur des écorchures.

    Le son mélodieux de ta voix est envoutant,
    Je ne peux être qu'ensorcelé par la femme,
    Qui se présente à mes yeux dans un éclair blanc :
    Dans mes yeux devait se consumer une flamme.

    Tout comme le vent les caresses de tes mains,
    Ont réchauffé mon cœur avant de le souffler.
    La douceur de ta peau a su le réparer,
    De sorte que de toi je devienne orphelin.

    A ta vue je suis un « géant de papier »,
    A ton odeur mon cœur bat plus vite et s'emballe.
    Aller à ton contact j'ai toujours hésité,
    Mais à tes baisers je suis resté animal.

    PAUT Jérémy


    1 commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires